Victoria, rêve et réalité…
Je ne rêve plus maintenant que tes bras m’ont tenu, que tes bras m’ont porté à hauteur d’Idéal…
Simplement je me souviens et tout le rêve est là, splendide, tel que je l’ai vécu au grand enlacement…
Je sais ton sourire qui éclabousse et la tendresse de ta main…
Je connais tes yeux de menthe, tes yeux de menthe et de verveine où tout s’apaise…
L’harmonie partout et partout la beauté…
J’ai appris par cœur ton visage que je récite en m’endormant…