Tendresse et Déesse
Lorsque l’on est touché, on l’est pour l’infini.
Vous savez quoi, il m’est difficile d’en parler autour de moi, mais cet instant passé est une thérapie à lui seul.
Je ne connais qu’elle sur Lyon 6.
Je l’ai découverte à l’ouverture de la porte, très classe, son regard vous capture.
Elle vous annonce qu’elle sera votre masseuse. Vous rougissez, car vous ressentez déjà la tendresse qu’elle vous apportera.
Elle a cette approche très tendre et il serait inconvenant de rompre ce vouvoiement qu’elle installe si naturellement.
Ce vouvoiement me plait tant, car il décuple la tendresse et l’attention qu’elle vous apporte sur cette heure et demi durant laquelle je décide de m’abandonner à elle.
Elle est magnifique, une très belle personne qui mérite respect et attention.
Imaginer le bien être ressenti lorsque l’on s’abandonne à elle et qu’elle vous permet de faire le grand saut au plus profond de son doux regard bleu gris dans lequel vous y trouvez la quiétude.
Pudique par nature, c’est une première fois, mais j’oublie totalement la nudité de nos deux êtres qui ne se connaissent pas, mais qui parviennent à partager et ressentir un moment de plaisir et d’exaltation, au point d’en imprégner une satisfaction indélébile, immensément bénéfique au plus profond de moi.
Il n’est point question de rapport ici, cela va bien au delà.
Le plaisir de recevoir et de donner par de douces caresses réciproques accentuées par la chaleur de la cire.
De tendres regards qui vous permettent d’apprécier la volupté des lignes de ce corps harmonieux, de ce visage au sourire angélique, de ce regard envoûtant, pénétrant.
Voyez vous, cela fait une année que je ne lui ai pas rendu visite et pourtant il m’arrive encore d’être dans son doux tourbillon et je n’ai qu’un voeux, celui de pouvoir réitérer ce partage que j’ai pu vivre à 3 reprises en 2017.
Jusqu’à ce moment, je ne connaissais pas ces salons, à la recherche de tendresse et de ce quelque chose inexplicable, sans apriori j’ai pris mon premier rendez-vous.
J’y ai trouvé tendresse, calme et repos au plus profond de moi, grâce à elle.
Si vous la côtoyez, elle ne vous laissera pas indifférent, prenez soin d’elle.
Je ne connais pas les autres masseuses, peut être par timidité je n’ai pas souhaité les rencontrer par fidélité pour elle.
J’ai mis une année pour exprimer ici ma satisfaction de ce cocon protecteur.
Jusqu’à présent j’avais préféré lui chuchoter le plaisir qu’elle m’offrait.
Je vous avouerai ma crainte, peut être, de ne pas pouvoir, mais dès que l’occasion me permettra une visite sur Lyon, je m’abandonnerai une nouvelle fois dans les bras d’Anna.
Eric