Iris ou la recherche de l’absolu.
â« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime
Et qui n‘est chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre et m’aime et me comprend. â» (Verlaine)
Merci Iris d’être toujours si présente à l’autre, si attentive à son émotion, si disponible (même quand l’après-midi est chargée) et de réussir ce prodige de lui faire croire qu’il est important le temps d’une danse infiniment voluptueuse. Le miroir, osé ce jour, révèle à chaque instant l’implication de chacun de vos gestes dont vous avez le souci comme l’orfèvre à son ouvrage. Je vous espère vite.