Les mains de LANA (suite)
Papillon, après ta métamorphose,
Tu dois butiner de fleur en fleur.
C’est dans la nature des choses,
C’est mon principal malheur.
Lana, te voir si douce pandant une heure,
C’est mon principal bonheur.
Tes doigts caressent mon corps.
Je n’ai qu’une envie folle :
Les tenir prisonniers, mais en vain.
Le papillon s’est posé sur ma main,
Je l’ai serré avant qu’il ne s’envole.
Il est parti, je le sais, il revie,dra