Iris, je vous aime.
Comme on aime les anges lorsqu’ils daignent se pencher sur nos âmes. Vous êtes un bonbon, un joyaux, une eau fraîche… Votre gentillesse jamais démentie m’émeut plus que je saurais dire. La beauté de votre corps et de vos traits d’une finesse Renaissance sont en harmonie avec une bien belle âme qui décuple vos charmes. J’en veux à l’indigence du lexique qui ne parvient à dire que piteusement le séjour charmant de votre parage. J’emporte avec moi la paume de vos mains. Faites moi savoir sans faute si elles vous manquent. À tout de suite MADAME Iris.