Morgane après une trop longue absence.
J’ai déjà trop parlé de Toi qui m’as appris la faveur du silence, ce parler muet des sens animaux, ce profond langage né dans la confiance, ce frémir d’aimer qui n’a pas de mots.Je veux pourtant écrire encore une fois – écrire pour me rappeler que je n’ai pas rêvé – ma reconnaissance pour ces instants de grâce où tu mêles l’élégance et la sensualité, ta présence souveraine et ta délicatesse, ton écoute silencieuse et ton regard qui sourit.Je veux apprendre encore de ce nouvel être au monde.