Vittoria ou l’éloge de la lenteur
J’en ai rencontré des muses au pays de Luxeva et même si Morgane a confisqué mon coeur au premier effleurement, je me dois de célébrer aujourd’hui la divine Vittoria (je l’écris à l’italienne parce que ça fait plus sensuel aussitôt). Vittoria ou l’éloge de la lenteur… du premier instant à l’ultime, Vittoria s’empare de vous en quête de chaque parcelle de votre corps à laquelle elle semble soucieuse de s’adresser. La température gagne vos bras, vos hanches et finalement tout votre corps qui rend les armes et abandonne toute résistance. Mais Vittoria c’est alors la beauté d’un visage qui vient au contact de votre joue, une bouche qui s’approche de votre bouche et vous donne plus qu’un baiser, la promesse d’un baiser qui dure et vaut mieux que tous les baisers. Vittoria c’est un souffle qui paralyse et anéantit la moindre résistance. Vittoria c’est un regard, un sourire, une voix qui vous accompagnent bien après que la porte s’est refermée…