Noces d’étain , ou presque…
Iris, je ne compte plus nos rencontres, je sais juste qu’elles passent trop vite et qu’à chaque fois, je me sens un peu plus heureux de vous connaître.
Hier, vous avez été au rendez-vous de ces noces d’étain (j’ai finalement compté !) et notre complicité fut délicieuse. Merci pour ce feu de tendresse, cette douceur brûlante… je peine à dire l’incroyable et subtile mélange d’affection et d’érotisme.
Votre présence, intense parce que dévouée, m’est devenue celle d’une amie : merci pour ce don de plus qui réchauffe mon coeur.