Merveilleuse Iris…
Iris, vos caresses ont le pouvoir des marées d’équinoxes
Elles recouvrent les rivages de la mélancolie
Emportent les pensées qui imploraient l’oubli
Laissent mon corps sur le sable épuisé mais ravi
Je l’aime bien cette fatigue au moment de quitter vos bras
Elle est comme l’indolence par l’effort consentie
Elle est un bateau ivre qui vogue vers la nuit
Une langueur consolante où s’exile l’esprit
Iris, votre main, votre main de paume et d’ardeur
A de nouveau trouvé le chemin de mon coeur.