L’étreinte de Victoria…
Apprenant mes faiblesses, s’en servant contre moi
Elle a su à l’intense unir le délicat
A la pleine confiance, la caresse de soie.
Au sortir de l’étreinte, apaisé et pantois,
Je me suis souvenu : le cristal de sa voix
Qui disait sans trembler son beau souci de moi.
Tous les bruits de la ville me rappelaient plus bas
Tout encore étourdi : merci à Victoria.