Retrouvailles…
Tendre et complice comme un besoin du coeur…
Votre grâce. Votre grâce d’infante qu’il suffit d’évoquer pour déplacer des mondes…
L’étreinte fervente et la pause câline qui va de soi comme un premier amour qu’on croyait oublié, retrouvé inchangé, inégalé…
Les pierreries de vos yeux brillant dans la pénombre, à transpercer mon âme, puissante émotion dont je tremble encore…
Votre cou adamantin et votre joue d’albâtre, la convulsion d’une mèche qui entre dans mon oeil, votre main sur la mienne m’invitant au profane moi qui vous vénérait comme une déesse soeur…
Et tant d’autres instants volés à l’inquiétude…
Iris, vous êtes ma princesse, vous êtes mon diamant…
Où que vous soyez demain, je suivrai votre éclat, je ne vous perdrai pas. Vous êtes mon infante, vous êtes l’idéal…