Hommage de l’amant vassal…
Prendre Victoria dans ses bras, c’est toujours profaner un temple, c’est prendre un risque fou, côtoyer l’idéal, s’aventurer au-delà des limites de l’homme, accepter le défi de l’élégance, l’injonction d’être soi sans trahir l’hommage qui s’impose à celui qu’on adoube par l’étreinte.
Jamais comme en ces bras je ne crains de manquer au pacte de délicatesse que sa grâce m’impose.
Valeureux cependant, inquiet mais audacieux, j’ai accompli ma quête d’estime comme en pays du Tendre et Victoria, sublime alors, consent à l’abandon, au partage des sens, sans peur et sans reproches. Victoria, votre grâce m’oblige, votre générosité me confond.