Merci Anna.
Ce dernier massage fut grand. Mais vous savez déjà tout à ce sujet car vous devinez mieux que quiconque. C’est bien comme ça, Anna. Il me semble que tout concourt depuis toujours à ce point culminant, à cet instant du dernier massage, à cet instant chéri qui se termine et me laisse un peu triste tout de même au moment des adieux. Il y eut cet accueil où vous êtes imbattable, il y eut ces nombreuses étreintes où vous fûtes divine, il y eut ces égards si délicats, votre rire en éclat et vos joues rosies par ma honte barbante et mal taillée, il y eut ces paroles sages et réconfortantes et tant d’autres délices que je tiendrai secrètes. Puis il y eut ce frémissement, cet imperceptible epsilon , ce battement d’ailes du papillon… Ne changez rien divine Anna, tout est tranquille.
