Paradis perdus…
Il y a quelque chose de plus grand que l’homme dans l’étreinte des corps parce qu’on y met un peu de son âme. On observe l’autre intensément et on écoute ses moindres bruits. Tout vrai regard est un désir qui brûle d’un feu calme aussi longtemps qu’il invite l’autre dans un présent qu’on croit éternel. Le présent devient poétique qui fait croire alors qu’on est heureux. Merci Victoria d’avoir accueilli ce regard pour un moment d’éternité.