Retour d’exil…
La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres…
Combien faut-il d’amour pour savoir la tendresse ?
J’espérais cet instant et j’habitais l’attente, impatient comme la nuit pour le matin…
Loin de vous, le présent est un exil : vous retrouver fut une réhabilitation au rang d’être sensible, si heureux de n’avoir rien oublié de la grâce d’aimer.
Il a suffi de presque rien et nous étions ensemble, une caresse plus loin et tout fut reconstruit…
Ensuite juste une certitude qui n’a pas de prix : la sincérité du partage.
Ce fut comme une reconnaissance par-delà le langage des hommes, quelque part où tout n’est plus que sensible…
Merci Victoria de m’avoir rappelé parmi les vivants et de m’y conserver cette place d’élu.