Victoria, la promesse de l’aube…
Toute terre promise exige son désert : je consens à l’exil et à l’aridité dans le monde qu’on dit réel, porté par la promesse du miel de ton corps, par le souvenir capiteux de ton souffle…
Retrouver l’orbe de tes bras, refaire le chemin qui mène à ton visage et revenir ne serait-ce qu’en songe à l’étreinte câline qui ne connaît pas le mensonge, célèbre le partage et fortifie le cœur…
La splendeur qui traversa l’étreinte éclairera longtemps ce chemin de lumière qui me ramènera jusqu’à toi.