Victoria, la tentation d’exister…
J’ai tout abandonné à tes mains récitantes
J’ai bu ton souffle tiède comme un vin de vigueur
J’ai cherché le partage comme un besoin du cœur
J’ai confié ma tristesse au baume des peaux aimantes
J’ai appris de tes bras la force et la douceur
J’ai aimanté ta paume à ma paume dévorante
J’ai connu le vertige de tes lèvres suffisantes
J’ai su que j’étais roi à la cour de ton cœur
Quand Victoria sourit au ciel de l’étreinte
Quand Victoria consent à laisser son empreinte
Le tendre de l’humain se surprend à aimer
Quand Victoria câline une âme vagabonde
Quand Victoria commande aux minutes aux secondes
Cette étrange impression d’un peu plus exister.